Depending on whom you ask, the esoteric effects of lunar cycles can be wide-ranging: good fortune, human fertility, ocean tides, werewolf prevalence and loss of sanity among them. For the like-minded musicians, DJs, dancers and visual artists who make up the Moonshine collective, the planetary satellite above all inspires their eponymous monthly event, driven by an inclusive ethos and a shared love for experimentations in dance culture.
Since its founding in 2014, Moonshine has carved out an enviable niche in Montréal’s nightlife milieu by celebrating a wide range of fledgling local talents, championing Afro-electronic, bass-heavy sounds, and bringing together communities that wouldn’t necessarily cross paths otherwise. As the name indicates, the lunar-based Moonshine recipe has the collective throw an all-night, sensory-soaked party on the Saturday after every full moon in ever-shifting, unpredictable locations across the city, always strictly disclosed via text messages. With fresh cuts supplied by resident DJs Pierre Kwenders, San Farafina, Vanyfox and AKantu, close friends such as Bambii, Foreigner, and Uproot Andy, visual installations, musicians, and a slew of live musicians and performers that have included Kaytranada, Dâm-Funk, Le1f, Venus X, and Branko, the parties have become a staple of the after-hours scene, in Canada and abroad, with appearances in NYC, LA, Paris, Brussels, Lisboa, Milan, Barcelona, Amsterdam or Santiago to name a few.
“The essence of Moonshine came out of parties we used to throw in our kitchens,” recalls Kwenders. “We felt like we couldn’t go out and find what we had cooked up in that kitchen. It’s one of the reasons we started Moonshine: to share that with more people who felt just like us, and who didn’t have access to such sounds or vibes.” Still going strong four years on, Moonshine has also begun making use of the aesthetic, network and structure it established with the parties to promote affiliated artists, expanding its vision from ephemeral moonlit soirées to an expanding catalog of genre-busting music, art and apparel.
L’impact des cycles lunaires varie selon les personnes interrogées. Chance, fertilité, marées, loups-garous ou encore perte de la raison figurent parmi les croyances ésotériques qui peuplent l’imaginaire collectif. Pour les musicien·nes, DJs, danseur·ses et artistes visuel·les du collectif Moonshine, le satellite planétaire (la lune) inspire avant tout leur événement mensuel éponyme, animé par une éthique inclusive et un amour commun pour l’expérimentation musicale et le clubbing.
Depuis 2014, Moonshine célèbre un large éventail de talents afro-électroniques, ce qui en fait un véritable point de rencontre pour des communautés musicales qui ne se rencontreraient pas nécessairement ailleurs. Comme son nom l’indique, la recette consiste à organiser une fête tous les samedis après la pleine lune dans des lieux changeants, gardés secrets jusqu’à la dernière minute et révélés uniquement par SMS. Avec le son des DJs résident·es Pierre Kwenders, San Farafina, AkAntu et Vanyfox, et de leurs proches comme Bambii, Foreigner et Uproot Andy, des installations visuelles, des musiciens et MCs, et une foule de musicien·nes et d’artistes invité·es dont Kaytranada, Dâm-Funk, Le1f, Venus X ou encore Branko, le collectif Moonshine est devenu une référence du clubbing et de la musique électronique, au Canada et à l’étranger. Moonshine présente des évènements à NYC, Los Angeles, Lisbonne, Milan, Paris, Bruxelles, Barcelone, Amsterdam ou encore Santiago.
» L’ADN de Moonshine est née des fêtes que nous organisions dans nos cuisines « , se souvient Pierre Kwenders. « Nous n’arrivions pas à retrouver cette ambiance dans d’autres soirées. C’est l’une des raisons pour lesquelles Moonshine est né, dans le but de partager cette énergie avec ceux qui comme nous recherchaient ce genre de son et de vibes. » Huit ans plus tard, Moonshine s’appuie sur l’esthétique, le réseau et la structure que le collectif a établi au fur et à mesure de ses soirées pour promouvoir les artistes affilié·es au collectif, ouvrant ainsi son mandat de l’organisation de soirées éphémères au clair de lune à la curation et mise en valeur d’un catalogue grandissant de musique, de contenus audiovisuels et de mode.
©Oumayma B. Tanfous